Les tropes et les représentations des troubles psychiques

Les troubles psychiques ont longtemps été invisibilisés ou associés à un certain nombre de stéréotypes négatifs.
Aujourd’hui, les publics sont beaucoup plus sensibilisés sur la santé mentale, ce qui a permis d’offrir des représentations plus justes pour certains troubles comme la dépression, l’anxiété ou encore la bipolarité. Il y a donc de plus en plus de personnages auxquels les personnes en souffrance psychique peuvent désormais s’identifier.

Écrire des personnages gros

Les personnes grosses sont discriminées de façon systémique et interindividuelle, car elles ne correspondent pas aux normes actuelles de beautés et de corps des classes dominantes. Ces normes de beauté évoluant et changeant au fil du temps font que cette discrimination paraît d’autant plus injuste et arbitraire. Cette grossophobie est également renforcée par toutes lesLire la suite « Écrire des personnages gros »

Les clichés de méchants à éviter

Lorsque vous écrivez un antagoniste, il peut être facile de tomber dans les clichés. Mais pire que les clichés, il y a les clichés problématiques, que l’on retrouve encore beaucoup trop. Voici une petite liste non-exhaustive des types d’antagonistes qu’il faut essayer d’éviter, ou au mieux, subvertir leurs archétypes pour pouvoir proposer de bonnes représentations.

Les tests pour mesurer la qualité des représentations

Le test de Bechdel a été créé en 1985 par Alison Bechdel, une autrice américaine de BD. Il a initialement été pensé pour examiner les personnages féminins dans les films, mais a permis ensuite d’ouvrir la voie à de nombreux autres tests pour dénoncer le manque de diversité sous toutes ses formes dans les œuvres culturelles.